vendredi 24 juillet 2009

vendredi 26 juin 2009

l'alerte pollinique

Pariétaire
Risque faible

Graminées
Risque élevé

vendredi 5 juin 2009

pollens en Morbihan

Morbihan (56) :
Graminées
Risque élevé

lundi 25 mai 2009

L’allergie, qu’est-ce que c’est ?



À savoir
L'été, ballades en forêt et déjeuners sur l'herbe… Mais aussi le retour d'un rhume des foins tenace qui durera jusqu'à l'automne.
Gênes multiples, complications, comment aller mieux ?
Comment éviter les infections, l'asthme, la fatigue, la lassitude des traitements ? Comprendre la pathologie, se rassurer sur les possibilités de soins sans effets secondaires, vivre enfin libéré !

Nez qui pique et qui démange, éternuements, sensation permanente d'avoir les oreilles bouchées, yeux bouffis au réveil qui pleurent à la moindre ballade dans les champs...


Le printemps n'est pas toujours une période bénie, et si les symptômes de la rhinite allergique sont sans gravité, ils restent difficiles à supporter au quotidien. Pénible de passer son temps à se moucher, d'avoir les yeux irrités et gonflés ou encore d'éternuer toutes les 5 minutes !


Souvent, ce sont les pollens qui déclenchent ces crises : il s'agit alors de rhinites allergiques saisonnières, ou "rhume des foins". En effet, les pollens sont surtout présents selon les régions entre février et septembre.


Tous les pollens ne sont pas allergisants : les pollens doivent contenir des protéines reconnues par la personne allergique et déclencher une réaction... et la présence de ces protéines peut varier d'une région à l'autre, pour une même espèce d'arbres !!


Les pollens allergisants sont disséminés par le vent, ils peuvent donc être inspirés : ceux qui sont disséminés par les insectes ne sont pas sources de crises de rhumes des foins.


Les plantes à pollens les plus allergisants sont : les graminées (herbes des prairies), l'armoise, l'ambroisie et l'ortie, les cyprès, les bouleaux, les chênes et les platanes.


Lorsque le produit allergisant est présent en permanence dans l'environnement, les symptômes sont présents tout au long de l'année. L'allergie est alors due à des éléments "domestiques" : poils d'animaux domestiques, plumes ; poussières de maison (dont les célèbres acariens), blattes, farine, etc.


L'allergie ne doit pas être sous-estimée : les surinfections tournent à la chronicité : les bactéries profitent de l'inflammation et les défenses immunitaires sont débordées : sinusites, otites, vertiges,… fatigues, déprimes, douleurs,… asthme, bronchites, … cystites, conjonctivites, … tout peut être prévenu et soigné


Conseils du pharmacien :


  • éviter les contacts avec les allergènes conseils multiples :
    • Laver le nez avec un produit adapté à votre problème : allergènes et surinfections.
    • Douche le soir (laver les cheveux)
    • Fogger pour la chambre contre les acariens
    • Eviter l'humidité si allergies aux moisissures
    • Ranger le pain si allergie aux farines
  • Augmenter la capacité à détruire les oxydants de l'organisme :
    • Vitamines et oligo éléments anti oxydants deux mois avant les contacts ou plusieurs cures par an
  • Solutions allopathiques ou non selon votre sensibilité ou vos antécédants :

    • Plantes
    • Huiles essentielles
    • oligosols
    • anti histaminiques
    • corticoïdes

mardi 19 mai 2009

Soleil ? Quand ? Comment ?

À savoir :
Le soleil est notre ami : sa lumière agit sur notre bonne humeur ses rayons permettent la sécrétion d’une hormone utile à notre squelette.
Le soleil est notre ennemi : il brûle, il modifie notre capital génétique (cancer), il déshydrate la peau et notre organisme.
Bébés, enfants, personnes âgées ont besoin d’une attention particulière.
Peaux grasses, peaux acnéiques, allergiques, taches,… aussi !

nos conseils :
Dès les premiers rayons de soleil du printemps, il faut protéger les parties non couvertes par des vêtements.
Donc, appliquez une crème visage avec indice de protection choisi par un professionnel. Et prévoyez dès que possible la protection corps afin de ne pas être pris au dépourvu par les premières journées ensoleillées.
Vos tubes de crème et flacons de lait déjà ouverts sont périmés d’un été au printemps suivant (oxydation des phases huileuses au contact de l’air).
Le soleil agresse votre peau qui fabrique des radicaux libres causes du vieillissement de la peau, préparez votre organisme à éliminer ces radicaux libres : carotène, acides gras, plantes sous forme de gélules.
Au cours de l’été, votre corps bronzera, vous pourrez appliquer des indices inférieurs.
Après l’exposition, la douche est un moment privilégié de rafraichissement, élimination des salissures, réhydratation. Un bon gel crème permet de réhydrater votre peau et de la soigner afin de nourrir l’épiderme et d’éliminer les radicaux libres.
Nous conseillons une protection grâce à un questionnement sur votre état de santé, traitements en cours, cicatrices, maladies de la peau, type de peau, envies de coloration du bronzage, anomalies de pigmentation, infections, allergie,…

L’application d’une protection solaire doit être impérativement renouvelée toutes les 2 heures afin d’éviter toute brulure. Appliquez sur tout le corps à la plage et sur les parties qui seront exposées pendant vos activités quotidiennes : déplacements au travail, courses, jardinage…
Les bébés, les enfants, les handicapés, les personnes âgées, toutes les personnes à mobilité réduite sont particulièrement vulnérables, méfiez-vous du soleil qui tourne au cours de la journée !
Nous prenons un grand soin dans le choix de nos produits conseils : innocuité, composition, actifs efficaces… nous référençons tous les types de protection : peaux fragiles, grasses, sèches, enfants, adolescents, lucites, cicatrices, hyperpigmentation, allergie au soleil ou à des produits chimiques, ….

Les dix commandements
· Eviter l’exposition intensive entre 12 et 16 heures (heures françaises d’été)
· Ne pas exposer un enfant en dessous de 3 ans.
· Appliquer le produit solaire 20 minutes avant l’exposition.
· Renouveler l’application toutes les 2 heures et après le bain.
· Se méfier de l’altitude, de la couverture neigeuse, et de la réflexion sur le sol ou sur l’eau.
· Eviter l’usage de produits photosensibilisants (antihistaminiques, cosmétiques parfumés, déodorants, médicaments phototoxiques).
· Les produits solaires ne doivent pas inciter à se surexposer ;
· Boire beaucoup pour se réhydrater
· Enceinte, ne pas s’exposer sans protection extrême afin d’éviter le masque de grossesse.
· Eviter de se rafraîchir par des pulvérisations d’eau minérale, préférer un lait protection solaire.

vendredi 15 mai 2009

risque pollinique

Morbihan (56) :
Bouleau
Risque faible

Chêne
Risque moyen

Graminées
Risque moyen

lundi 11 mai 2009

l'alerte pollinique du Morbihan

Bouleau
Risque faible

Chêne
Risque moyen

Platane
Risque faible

Graminées
Risque moyen

mercredi 29 avril 2009

Rhinite allergique : halte aux nez qui piquent !

graminées

frêne













chêne



bouleau





armoise



ambroisie







Le printemps s'annonce, synonyme de ballades en forêt et de déjeuners sur l'herbe.
Mais pour certains d'entre vous, comme pour des millions de Français, cette période annonce aussi le retour d'un rhume des foins tenace qui durera jusqu'à l'automne.
Pour que la rhinite allergique ne vous gâche plus la vie, suivez ces quelques conseils pratiques.

I. Description
Nez qui pique et qui démange, éternuements, sensation permanente d'avoir les oreilles bouchées, yeux bouffis au réveil qui pleurent à la moindre ballade dans les champs...

Le printemps n'est pas toujours une période bénie, et si les symptômes de la rhinite allergique sont sans gravité, ils restent difficiles à supporter au quotidien.

Pénible de passer son temps à se moucher, d'avoir les yeux irrités et gonflés ou encore d'éternuer toutes les 5 minutes !

II. Des conseils pratiques
Le rhume des foins que vous subissez depuis des années n'est pas une fatalité, n'hésitez pas à en parler à votre pharmacien.
Il cherchera d'abord à éliminer une autre cause de rhinite et d'écoulement nasal en vous questionnant, et il recherchera également des signes d'allergie pouvant être situés à d'autres endroits de votre corps (eczéma, asthme, ...).
Avez-vous eu d'autres signes d'allergie ?

Finalement, il peut être conduit à vous proposer d’aller voir un médecin pour un bilan allergique afin de rechercher quelles sont précisément les substances qui vous déclenchent ces symptômes.

Dans le cas de rhinites allergiques saisonnières, un traitement préventif par antihistaminiques peut vous être conseillé : souvent un tel traitement permettra d'éviter complètement l'apparition des symptômes, et dans tous les cas, il les diminuera de façon importante. Celui-ci doit être mis en route dès le début de la période pendant laquelle survient habituellement votre rhume des foins ou en tout cas dès que possible.

Pour les rhinites perannuelles (tout au long de l'année), il faut impérativement prendre en charge l'environnement : éviter la moquette, traiter tous les éléments textiles avec des acaricides dans les chambres et utiliser des housses traitées en cas d'allergie aux acariens. Eviter les animaux, et au minimum leur interdire l'entrée dans les chambres. Selon la nature de la substance allergisante, prendre les mesures nécessaires pour réduire son contact et son inhalation. L'utilisation d'un filtre anti-pollen dans la voiture peut également diminuer l'exposition à l'allergène.

Quel que soit le type de rhinite allergique, le traitement médicamenteux fait appel en général à des cures d'antihistaminiques ou des corticoïdes en pulvérisation par voie nasale et des produits qui éviteront les surinfections.

Bien sûr, la première des choses est d'éviter autant que possible le contact avec la ou les substances responsables de votre rhinite allergique...pas toujours simple !!!

III. Une irritation permanente
Les signes sont bien connus de ceux qui subissent cette maladie. Un nez qui se met à couler en permanence, avec un écoulement clair comme de l'eau (on parle de rhinorrhée aqueuse) et qui oblige à remplir ses poches de mouchoirs. Souvent, il existe également des signes au niveau des yeux : larmoiements, picotements, démangeaisons, sensation d'avoir les paupières irritées et gonflées.

Une sensation d'avoir les oreilles bouchées est également souvent associée, liée à l'épaississement de la paroi des trompes d'eustache, ces petits canaux qui vont de la gorge à l'oreille moyenne et qui ont pour rôle d'équilibrer la pression entre l'intérieur et l'extérieur du tympan.

La répétition de ces irritations finit par avoir un effet sur les parois du nez, qu'elles rendent plus fragiles et plus sensibles aux infections.

IV. 30 % de la population adulte atteinte
Souvent négligée par les patients qui ne se considèrent pas véritablement malades, la rhinite allergique est une réaction des parois du nez à la présence d'une substance externe capable de déclencher une réaction d'allergie. Cette substance (alors appelée allergène) entraîne une réponse de certaines cellules immunitaires qui produisent automatiquement une trop grande quantité d'anticorps (Immunoglobulines de type E ou IgE) au niveau de la muqueuse nasale, c'est-à-dire du revêtement intérieur du nez.

Cette production s'accompagne également d'une dilatation des vaisseaux sanguins et de l'émission locale de substances irritantes. Comme cette réaction a lieu localement sur toute la zone ORL, c'est le nez mais aussi tous les organes qui lui sont reliés qui vont être touchés : l'arrière gorge, l'oreille moyenne et les yeux.

30 % de la population présente tous les ans une rhinite allergique, ce qui témoigne chez les personnes atteintes, d'une prédisposition allergique ou d'une sensibilisation à certains allergènes particuliers.

V. Les pollens, les poussières et les animaux : premiers coupables
Dans de très nombreux cas, ce sont les pollens qui déclenchent ces crises : il s'agit alors de rhinites allergiques saisonnières, ou "rhume des foins". En effet, les pollens sont surtout présents selon les régions entre février et septembre.

Tous les pollens ne sont pas allergisants : pour posséder cette caractéristique, ceux-ci doivent en effet contenir des protéines qui vont être reconnues par la personne allergique et déclencher une réaction... et la présence de ce type de protéines peut varier considérablement d'une région à l'autre, y compris pour les pollens d'une même espèce d'arbres !!

D'autre part, les pollens allergisants sont uniquement ceux qui sont disséminés par le vent et qui peuvent donc être respirés par des personnes allergiques : ceux qui sont disséminés par les insectes ne sont pas sources de crises de rhumes des foins. Parmi les plantes donnant les pollens les plus allergisants, on peut citer les graminées (herbes des prairies), l'armoise, l'ambroisie et l'ortie, les cyprès, les bouleaux, les chênes et les platanes.

Lorsque le produit allergisant est présent en permanence dans l'environnement, les symptômes sont présents tout au long de l'année, et on parle alors de rhinite allergique perannuelle. Celle-ci est essentiellement due à des éléments "domestiques" : poils d'animaux domestiques, plumes ; poussières de maison (dont les célèbres acariens), blattes, etc.

mardi 28 avril 2009

Dossier spécial "grippe" : La Grippe Porcine

L'OMS a confirmé le 24 avril 2009 la survenue de plusieurs cas humains de grippe d'origine porcine. Le virus isolé est un nouveau virus A (H1N1) avec transmission interhumaine. Il fait craindre une pandémie..
La transmission interhumaine du virus s'effectue par voie aérienne, de manière directe (toux, postillons, etc.) ou indirecte (mains, objets, etc.).
Les signes d'infection établis par l'InVS et la DGS sont un syndrome respiratoire aigu brutal (toux ou dyspnée), accompagné de signes généraux (fièvre > 38°C ou courbatures ou asthénie). Pour l'instant, seules les personnes ayant séjourné en Californie, au Texas ou au Mexique dans les 7 jours avant le début de ces signes peuvent être suspectée de grippe porcine. Les personnes ayant eu un contact étroit avec un cas possible, probable ou confirmé peuvent également être suspectées, si elles présentent elles-mêmes ces signes.
Pour l'instant, il n'existe pas de vaccin contre ce nouveau virus mais les antiviraux (oseltamivir et zanamivir) seraient efficaces.
Le numéro de la plate-forme téléphonique Grippe aviaire est le 0 825 302 302 (0,15 euros ttc/minute depuis un poste fixe) pour toute information sur l'épidémie et sur la grippe porcine. Le numéro de la plate-forme du ministère des Affaires étrangères (01 45 50 34 60) est également à la disposition des voyageurs.
Enfin, le 15 doit être composé pour toute personne pensant avoir les symptômes de la grippe si elle revient d'une zone à risque.

I. Questions-réponses sur la grippe porcine

A. Comment peut-on attraper la grippe porcine ?
La grippe porcine est une infection respiratoire sévère due à un virus grippal qui infecte habituellement les porcs. Il peut passer de l’animal à l’homme, mais la contamination peut aussi être interhumaine. Dans ce cas, le virus se transmet par voie aérienne, de manière directe par le biais de la toux et des postillons ou de manière indirecte par les mains, les objets touchés par une personne malade.
En revanche, on ne peut être contaminé en mangeant du porc.

B. Quels sont les signes de la grippe porcine?
Une personne présentant un syndrome respiratoire aigu brutal avec une fièvre supérieure à 38° OU des courbatures OU une asthénie,
ET des signes respiratoires, de type toux OU dyspnée, peut être un cas de grippe porcine
SI dans les sept jours avant le début de ces signes :
- elle a séjourné dans le sud de la Californie (comtés de San Diego ou Imperial) ;
- elle a séjourné au Texas dans le comté de San Antonio (près de la frontière mexicaine) ;
- elle a séjourné au Mexique dans le district fédéral de Mexico City ou de San Luis Potosí ou de Baja California ou de Oaxaca ;
- elle a eu un contact étroit avec un cas possible, probable ou confirmé, dans les 24 heures avant le début des signes.

C. Que faut-il faire en cas de suspicion de grippe porcine ?
Une personne qui répond aux critères ci-dessus doit contacter rapidement le 15 ou son médecin traitant.
Elle devra alors préciser l'itinéraire, les lieux fréquentés et la date de retour.
En attendant une décision médicale, elle devra éviter tout rassemblement de foule. S’il y a lieu, l'hospitalisation doit être effectuée dans l'établissement le plus proche avec mise en œuvre d'isolement respiratoire et d'un traitement par un inhibiteur de la neuraminidase, en attente d'une confirmation ou d'une infirmation biologique du diagnostic de grippe.
Les personnes en contact étroit avec des patients suspectés d’avoir contracté la grippe porcine doivent rester à leur domicile et éviter les contacts avec des personnes extérieures.

D. Existe-t-il des traitements efficaces ?
A ce jour, l’oseltamivir (Tamiflu) et le zanamivir (Relenza) sont efficaces sur les souches isolées aux Etats-Unis. Des tests sur les souches mexicaines sont en cours.

E. Existe-t-il un vaccin contre la grippe porcine ?
Pas pour l’instant. Selon les experts américains qui l'étudient, rien ne permet d'affirmer pour le moment que le vaccin humain contre la grippe saisonnière soit efficace. Le Comité français de préparation pré pandémique n'a d’ailleurs pas recommandé cette stratégie vaccinale. Un délai de plusieurs semaines à plusieurs mois sera nécessaire pour qu'un vaccin soit disponible.

F. Les masques sont-ils efficaces ?
Oui. On peut recommander les mêmes qu'en cas de menace de grippe aviaire.

G. Peut-on quand même se rendre au Mexique ?
Compte tenu de la situation sanitaire locale, le ministère des Affaires étrangères et européennes et celui de la Santé appellent à la plus grande prudence. Toutefois, si un voyage au Mexique ne peut être annulé, il est recommandé :
- d’éviter les lieux de rassemblement public (salles de spectacles, etc.),
- de respecter les règles d’hygiène élémentaire (lavage soigneux et régulier des mains, aération des pièces),
- de porter une attention toute particulière aux personnes les plus vulnérables (enfants, personnes âgées ou fragiles),
- d’éviter le contact avec les malades,
- de se tenir informé de l'évolution de la situation locale en consultant notamment le site Internet du ministère français de la Santé,
- et, bien sûr, de consulter sur place un médecin en cas de fièvre ou de symptômes grippaux (courbatures notamment).
II. Sites de référence sur l'épidémie humaine de grippe porcine
Site des Groupes régionaux d'observation de la grippe (GROG)Bulletins de surveillance de l'arrivée et de la circulation des virus grippaux sur le territoire français. Dossier spécial sur la grippe porcine H1N1.
Site de l'Institut de veille sanitaire (INVS) Surveillance de la grippe semaine après semaine. Dossier spécial sur la grippe porcine H1N1.
Site du Ministère de la Santé et des Sports Points quotidiens sur l'évolution de l'épidémie humaine de grippe porcine.
Site du Ministère des affaires étrangères Conseils aux voyageurs qui séjournent actuellement au Mexique ou doivent s'y rendre dans les prochains jours.Plateforme du Ministère des Affaires étrangères : 01 45 50 34 60
Site interministériel de préparation à un risque de pandémie grippale Information sur la grippe aviaire et la grippe porcine.
Site de l'OMS Bulletins d'information mondiale et données d'informations générales. Dossier spécial sur la grippe porcine H1N1.
Info'Grippe Aviaire (ministère de la Santé et des Solidarités)0 825 302 302 (0,15 € la minute), du lundi au samedi de 9 h 00 à 19 h 00Informations aux voyageurs, liste des pays touchés, recommandations sanitaires...
Autres sites de référence sur la grippe :
Site du réseau sentinelles de l'Inserm (Sentiweb) Situation epidémiologique de la grippe saisonnière en France métropolitaine.
Site du Groupe d'études et d'information sur la grippe (GEIG) Informations générales sur la grippe.
Site de l'Afssa Informations sur la sécurité alimentaire et les problèmes vétérinaires.
Site de l'Inpes (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé) Informations pour les professionnels de santé et conseils aux voyageurs.
l'alerte pollinique de votre secteur géographique :

Morbihan (56) :
Bouleau
Risque moyen

Chêne
Risque faible

Graminées
Risque faible

vendredi 6 mars 2009

l'alerte pollinique de votre secteur géographique

Morbihan (56) :
Aulne
Risque élevé

Cyprès
Risque faible

Noisetier
Risque moyen

Réseau National de Surveillance Aérobiologique (R.N.S.A.)

samedi 21 février 2009

l'alerte pollinique de votre secteur géographique

Morbihan (56) :

Aulne
Risque faible

Cyprès
Risque faible

Noisetier
Risque faible
Réseau National de Surveillance Aérobiologique (R.N.S.A.)
Pour en savoir plus : http://www.pollens.fr

lundi 16 février 2009

Testez votre audition par téléphone en 5 minutes


L’association FrancePresbyAcousie lance une campagne de dépistage du déficit auditif dans le bruit. Baptisée « ein ? », elle présente l’originalité d’utiliser le téléphone.

La presbyacousie est reliée à la perte naturelle et progressive des cellules sensorielles situées dans la cochlée, partie de l’oreille interne consacrée à l’audition. Il en résulte une altération de la perception des aigus, sons importants pour la précision des syllabes. En découlent des difficultés de compréhension, flagrantes dans le bruit.Un numéro 0 892 790 791,
accessible à tous, en tout anonymat, et le test commence : une première série de trois chiffres est énoncée sur un bruit de fond. La personne retranscrit sur son clavier téléphonique ce qu’elle a entendu. Suivront 26 autres triplets de chiffres masqués de façon variable par le bruit de fond.

Après environ 5 minutes d’un test peu onéreux (0,34 € la min), le résultat est « bon », « insuffisant » ou « faible ». La consultation d’un ORL est recommandée dans les deux derniers cas. Déjà utilisé au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et en Allemagne, ce test a permis à de nombreuses personnes de prendre conscience de leur déficience auditive.

« Bien vivre avec son diabète… »

Un numéro spécial de la revue de l’AFD Région Bretagne
Un numéro spécial pour tout savoir sur le diabète en Bretagne. Disponible dans toutes les pharmacies.
Bien pris en charge, les diabétiques peuvent devenir des « malades bien portants » ! Forte de cette conviction, l’Association française des diabétiques (AFD) Région Bretagne s’est associée au Conseil de l’Ordre des Pharmaciens de Bretagne et à sanofi-aventis pour publier un numéro spécial de sa revue Trait d’Union.
Objectif : rappeler que le diabète est une maladie chronique qu’il faut prendre au sérieux mais avec laquelle il est possible de vivre normalement à condition de bien se soigner pour éviter ou retarder les complications. Ce numéro, qui s’adresse aux diabétiques et à leur entourage, est disponible dans toutes les pharmacies de Bretagne. Au sommaire, des articles thérapeutiques, des témoignages de patients et des adresses utiles.
Pour en savoir +
Les associations bretonnes de l’AFD
Brest : ADN29 – 02 98 46 24 92 – adn29@wanadoo.fr

Quimper : ADC Quimper – 02 98 53 10 32
Lorient : Diab’lor – 02 97 83 24 59 – diablor-lorient@wanadoo.fr

Vannes : Diva 56 – 06 99 05 03 24 – leclaire.michel2@wanadoo.fr

Rennes : Diabrennes 35 – 06 16 90 11 94 – diabren35@alicepro.fr

St-Malo : Diabéto-Malo – 06 85 41 43 26 – diabeto.malo@laposte.net

St-Brieuc : Diab’Armor – 02 96 75 17 35 – diabarmor.adfbretagne@wanadoo.fr

vendredi 13 février 2009

jeudi 12 février 2009

Enrhumé ?

À savoir
Le plus souvent les rhumes sont dus à des virus.
Classiquement, ils commencent par un écoulement nasal clair pendant 2 ou 3 jours puis l’écoulement devient épais.
Ils peuvent s’accompagner de fièvre, de maux de tête, d’éternuements, d’une irritation de la gorge.
Parfois, ils ouvrent la porte à des surinfections par des bactéries (otites, sinusites, bronchites…)
En pratique
► Lavez votre nez
Utilisez du sérum physiologique ou un spray d’eau de mer. Renouvelez le lavage plusieurs fois par jour.
► Désinfectez
Complétez le lavage par des gouttes nasales antiseptiques.
En fonction des symptômes ressentis :
► Décongestionnez (si votre nez est bouché)
Faites des inhalations 2 ou 3 fois par jour.
Utilisez un inhalateur de poche dans la journée.
En l’absence de contre-indications (elles sont nombreuses !), vous pouvez prendre un médicament vasoconstricteur.
► Stoppez l’écoulement
En l’absence de contre-indication, certains médicaments calment « le nez qui coule ».
Ils peuvent être associés à un vasoconstricteur lorsque le nez coule et se bouche en alternance.
► Calmez l’irritation
Appliquez si besoin sur votre nez irrité par les mouchages une pommade à base de vaseline.
► Luttez contre la fièvre
En l’absence de contre-indication, utilisez un médicament contre la fièvre.
Attention, beaucoup de traitements « anti-rhume » en contiennent déjà.
► Pensez homéopathie
Un traitement existe pour chaque type de symptômes.
Vous pouvez l’associer aux autres traitements du rhume.
- Humidifiez l'air avec un humidificateur ou un linge humide sur le radiateur.- Diffusez des huiles essentielles antiseptiques
Adoptez les bons réflexes
► Purifiez l’atmosphère
- Evitez de surchauffer (18 °C maxi dans les chambres).
- Humidifiez l'air avec un humidificateur ou un linge humide sur le radiateur.
- Diffusez des huiles essentielles antiseptiques.
► Ne fumez pas, évitez les atmosphères enfumées
► Evitez la contagion
- Lavez-vous les mains fréquemment.
- Portez un masque, surtout en présence de nourrissons.
- Utilisez des mouchoirs jetables.
- Aérez après le passage d’une personne enrhumée.
- Toussez main devant la bouche !
- Ne partagez pas vos objets personnels (verre, sprays d’eau de mer…).
► Mangez équilibré
Pour limiter les manques en fer et en vitamine C (qui participent aux défenses de l’organisme.
► Buvez abondamment (eau, infusions…)
► Prévenez les récidives
Lavez-vous les mains et le nez régulièrement.
Faites une cure de vitamine C ou d’oligoéléments.
Evitez les endroits surchauffés en hiver (grands magasins…).